Comment ne pas magnifier la Femme vêtue de soleil qui veille cosmiquement et humainement sur le sort de ses semblables? Composé et lu pour la fête de l’Assomption du 15 août 2018, lors d’un renouvellement d’engagement, ce poème se veut un élan d’amour qui me parle d’Elle.

Brille dans ta pupille l’éclat de clairvoyance
Comme à la crête des vagues une lumière vivante
Pacifique océane de profondeurs immenses
Où l’œil ne repose qu’en désir d’Infini

La Voie Lactée s’impose à ton égard
D’En-Haut s’inscrit le départ
La course et la suite et la fin qui finit bien
Le sens à bout portant que perce ton regard

Point de malice ne pointe à la rétine
L’amertume amère n’a su vaincre ton cœur
À marée haute, à marée basse dans la tempête
La souffrance assumée assure ton bonheur
L’Espérance s’engouffre comme l’eau dans la turbine
Tournant en lumière le tourment ravageur

La Paix s’installe d’une joie indicible

Sémantique visage à prestance d’Élue
Grâciée par Dieu dans le sang sémitique
Au profil harmonieux que ton âme habite
Jésus te déclare son amoureuse passion
Il réclame ta présence forte et aimante
Pour vaincre en beauté le mal et sa laideur
Et donner à qui se présente un surcroît de bonheur

Océane